jeudi 4 septembre 2014

25-Hommage à Dominique notre frère.



Il à sauvé quatre personnes, il était retourné dans le feu pour sauver ses deux chats, il est pas ressorti vivant des flammes

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Il y a un an, les flammes ont détruit la pension de famille . Le feu était parti d'une voiture garée sous cet édifice en bois monté sur pilotis. Il s'était rapidement propagé./Photo DDM, archives.
Il y a un an, les flammes ont détruit la pension de famille . Le feu était parti d'une voiture garée sous cet édifice en bois monté sur pilotis. Il s'était rapidement propagé./Photo DDM, archives.
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Il y a tout juste un an, un incendie ravageait une pension familiale à Lavelanet. Les flammes ont fait trois victimes : Gilbert Ferrier, Frédéric Amiot et Dominique Monnèry. L'enquête menée par le pôle d'instruction de Toulouse est toujours en cours.
Rien n'a bougé depuis cette nuit terrible du 3 au 4 septembre 2014. Un an après, le bâtiment de la pension de famille alors gérée par la Croix-Rouge, rue Jacquard, est toujours en l'état.
Reste les stigmates, les traces de fumée, la rubalise. Reste la mémoire, le souvenir des trois victimes de cet incendie d'origine criminelle : Gilbert Ferrier, Frédéric Amiot et Dominique Monnéry.
Dès le lendemain du drame, le dossier avait été confié au pôle d'instruction de Toulouse.
Dans la foulée, Michel Valet, alors procureur de la République à Toulouse, avait ouvert une information judiciaire criminelle pour dégradations volontaires et destruction par incendie, ayant entraîné la mort de plusieurs personnes.

L'enquête se poursuit

Il avait promis «une enquête active», dans un dossier qualifié de «prioritaire» en raison de la gravité des faits. Depuis, rien ne filtre de l'enquête.
«Le juge d'instruction n'a pas remis le dossier à notre avocat, confie Danielle Ferrier, l'épouse d'une des victimes. Même si c'est long, c'est un bon point. Ça veut dire que l'enquête est toujours en cours».
En février, une marche blanche avait été organisée dans les rues de Lavelanet, en hommage aux victimes.
Pour ce triste anniversaire, rien n'a été officiellement arrêté.
«On ne veut pas rajouter du souci aux familles, témoigne Marc Sanchez, le maire de Lavelanet. Si quelque chose était organisé par les proches, bien sûr que nous nous y associerons. Mais nous, nous ne ferons rien tant que l'enquête ne sera pas close.»

Danielle Ferrier : «comment survivre après cet acte criminel ?»

Un an après, Danielle Ferrier, l'épouse d'une des victimes, a adressé un courriel à notre rédaction.
«4 septembre 2014. Une date comme les autres, une date définitive, terrible pour les trois victimes et leurs familles. Gilbert Ferrier est une de ces victimes. Cet incendie a laissé derrière lui une famille déchirée par l'horreur, la colère, la douleur et le vide immense que vient de créer cet incendie. Comment survivre après cet acte criminel qui a emporté cet homme adoré par ses quatre filles, ses six petits-enfants, sa famille, ses amis-es ? Enzo, Loëvan et Margot assez petits pour y croire disent qu'il est avec le Père Noël dans les nuages et admirent, depuis cette nuit tragique, une étoile plus brillante que les autres. Maëlan, un peu trop petit et un peu trop grand pour se laisser berner par des paroles légères dites pour amoindrir sa peine. Mathias et Chloé assez grands pour constater toute l'ampleur du désastre, comment vont-ils vivre avec ça ? Sans ce papi adorable qui ne savait que les faire rire. Céline, Sophie, Julie et Caroline ne peuvent, ne veulent pas y croire et attendent encore de le voir apparaître même une minute, une seconde pour lui dire une dernière fois leur amour de leur papa, malheureusement il n'en sera rien, car une main criminelle a allumé un feu dévastateur. Ses frères Francis et Yvan qui ne peuvent accepter ce départ trop tôt, trop rapide. Je suis la femme de Gilbert, la maman de ces filles, la mamie de ces petits, et je n'ai que peu de mots pour les consoler, pour leur dire que la force est la meilleure des solutions. Je ne peux leur dire que je viens de perdre 30 ans de ma vie, qu'un gouffre immense s'est ouvert derrière moi, que la vie lui avait donné des ailes, des projets, des envies et que la mort vient de tout casser. Alors je les porte, encore et toujours, comme une maman sait si bien le faire, avec l'amour d'une maman et d'un papa car mon cœur est assez grand pour ça. Aujourd'hui, les gens ont déjà oublié. Pour la plupart, la vie continue. Oui elle continue, mais cet incendie ne doit pas être oublié, les mémoires ne doivent pas occulter cet événement, la justice ne peut pas oublier qu'une personne a commis l'irréparable un soir de septembre 2014. Qu'une main a mis le feu sous un bâtiment en bois où vivaient dix-neuf personnes. Comment ne pas avoir eu, à un tout petit moment, l'idée que cet acte allait horriblement se terminer. Un hommage lui sera rendu par sa famille le 5 septembre.»

En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/04/2170365-incendie-mortel-un-an-apres-l-enquete-toujours-en-cours.html#QWXjCd5dRjqXSU5X.99

jeudi 1 juillet 2010

24-Hommages à eux

Je les avais aimés 

Delahaye Henriette Augustine Née le 10 Septembre 1893
Décédée le 25 Mars 1975 à Drancy



A cinquante ans 
Au milieu  ma grand-mère


   Déjà petit je me souviens de sa douceur sa tendresse, sa gentillesse ses filles  et son fils Jean "rappelez vous les punitions sur le manche de pioche" n'avaient malheureusement pas hérités ça de leur mère, mais certainement de leur grand-mère Victorine Lacroix, celle-ci m'avait ont raconté, était vraiment très méchante, pour preuve elle avait plantée dans la tête de sa petite fille "notre mère" une fourchette, après une colère, l'histoire donc c'était évident quelle ce répétait, puisque ma mère m'avait fracassé un sac de bouteilles sur ma tête, sonnantes et trébuchante.

  Revenons à ma grand-mère, j'adorais la voir faire en un tour de main ses fleures artificiels et bien d'autres choses comme la cuisine, des bons petits plats avec les légumes de son jardin et l'élevage des poules et des lapins, je suis certain, que le lourd secret qui m'entourait, elle le connaissait, bien que plane toujours un grand doute sur ce fait.
  Quel que soit l'endroit où elle se trouvait j'avais plaisir de la voir "Brie sur marne, le Creusot, la Courneuve, enfin Drancy.

  En 1975 elle était tombée gravement malade, elle avait souffert le martyre, jusqu'à ce 31 mai 1975, j'étais passé la voir pour lui annoncer ma belle histoire avec Patricia et prendre de ses nouvelles, mais la voyant dans cet état j'avais été très choqué, ma tante m'avait dit tu sais ta grand-mère ne va pas bien je crois que c'est la fin.

La médecine du cancer était à ses balbutiements, 82 ans elle avait, il n'y avait plus rien à faire pour elle, alors pourquoi un médecin avait-il décidé de la faire transporter lamentablement, à la clinique privée du Blanc- Mesnil, proche de son domicile, en début de matinée, pourquoi lui infliger cette dernière souffrance, alors qu'elle hurlait laissez moi mourir, ce triste passage avait marqué ma vie à jamais, je l'avais accompagné, avec ma tante mon oncle Joseph le mari de ma tante.

    Tout cela par ce qu'un médecin avait décidé qu'une perfusion, lui redonnerait la pêche, mais non c'était un nul, cette perfusion ce n'était qu'une question de fric.

Ramenée à son domicile en début d'après midi et recouché elle s'était endormie, mais chaque fois réveillée par d'horribles vomissements avec des râles tout aussi horribles, ma tante et moi la maintenions pour qu'elle soit plus alaise pour se libérer, je suis resté à côté d'elle, elle me murmura des choses incompréhensibles et puis, je vais mourir, j'ai mal, j'ai mal, puis plus rien j'avais attendu quelque second, tata, tata, c'est fini elle est morte en pleurant, ma tante dans un premier temps ne m'avait pas crue, mais avait dû se rendre compte de l'évidence, j'avais perdu ma chère grand-mère, elle venait de perdre sa maman.

Quelques mois auparavant ma grand-mère avait perdu son dernier compagnon, Charpentier Jean marie  le pauvre n'avait plus aucune famille que faire de lui, à sa mort.

Après un conseil de famille, ma tante, Joseph, Lulu, sa fille Bernadette, ma mère e t c ... avaient décidés pour le remercier des années de complicités avec la grand-mère, de prendre pour lui une concession sur 10 ans.

  Ma grand-mère n'avait pas étés enterrée avec lui, il était vraie, que ma grand-mère avait toujours étés considérée par lui comme sa bonne, un dur bonhomme pas un mauvais bougre, un ancien ingénieur minier, resistant de 39/44.


Mémé la mère de notre père


   Une petite bonne femme fluette, très maigre, l'ancienne petite concierge du seizième arrondissement de Paris, qui vivait dans une minuscule  loge, était à bout de force, son fils et son petit fils Jean-Claude, l'avaient placés en maison de retraite, quelques années plutôt, avait elle appris pour son fils, notre père décédé le 18 Octobre 1971, certainement déjà très affaiblie par la maladie elle n'avait donc pas survécus à l’annonce de la mort de son fils, elle est partie à son tour le 27 Octobre 1971, elle avait rejoint son fils et notre petite sœur Chantal, dans le caveau qu'avait pris les parents, après le D C de notre sœur.

Le lendemain de la mort de mon père, j'avais reçu un coup de téléphone au boulot c'était mon frère Alain, enfin je crois, après plusieurs mois sans aucune nouvelle, puis toujours avec le souvenir de cette lettre bleue, "la rancune était tenace" je m'étais dit tiens après tout pourquoi pas lui rendre un hommage et le remercier de sa gentillesse, qui avait beaucoup marqué les différentes étapes de ma triste vie près de lui {je plaisante bien sur}, allongé dans son cercueil les joues creuses blême, sur il avait souffert horriblement, un cancer du rectum avait eu raison de lui, il aurait pu être prolongé de quelques mois si parait il, il avait accepté une dernière opération et la pose d'un anus artificiel et non la fierté ou la bêtise ou même tout simplement, marre de la vie.

Quoi qu'il en soit il avait laissé la mère avec trois jeunes enfants Dominique, 10 ans, Thierry, 8 ans et enfin Patrick 6 ans.

Rajouter 3 ans après cette photo
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Notre chère gendarme
 

   La mère avait géré tant bien que mal ses trois derniers, avec toujours là, l'aide de notre chère tante Raymonde, qui avait dans le même temps à gérer notre petite cousine Bernadette, qui était sur le point de mal tourner, à 15-16 ans elle n'était pas très farouche et multipliait les aventures sexuelles, même mes derniers frères c'étaient vantés d'avoir eu ses faveurs, je dois dire qu'avec un père en prison pour pédophilie et une mère un peu simplette "LULU", elle était souvent livrée à elle-même, alors les deux sœurs, de ma tante lui devait beaucoup pour son aide.

   Notre tante travaillait au tri postale avec son mari Joseph, je ne sais pas où il c'étaient rencontrés c'est deux là, nous nous étions toujours demandé ce qui avait pu les rapprocher, l'âge avancé de chacun, peut être où la peur de se retrouver seul surement. Joseph n'avais jamais quitté sa mère jusqu'à sa mort       Sous Franco toute la famille de Joseph avait fuit la guerre d’Espagne, il avait passé son adolescence dans le sud de la France, bien avant sa rencontre à plus de cinquante ans, avec notre tante qui était sans aucun doute, à son tour devenue une nouvelle mère pour lui, en tout cas il l'avait toujours suivi dans ses dévotions pour notre grand-mère, également  ses neveux et nièce ils avaient d'ailleurs, tout deux pratiquement adoptés Bernadette comme leur fille, au moins jusqu'à ce qu'elle rencontre son premier mari et la naissance à dix-sept ans de sa fille.

 Notre tante avait un don rare, {Au 16 ème siècle serait apparue la formule "le roi te touche, Dieu te soigne et te guérit"} elle arrivait avec l’apposition de ses mains sur des personnes souffrantes de maux divers, à les soulager, les guérir peu être pas, chaque fois en tout cas quelle avait fait un soin disait elle, sa santé en prenait un grand coup, son professeur de théologie qui avait découvert son don l'avait prévenu, malheureusement après avoir pris sa retraite de la poste elle n'eut que peu de temps pour en profiter, les soins de son mentors et ami le prof, n'avait  rien put faire contre un vilain cancer généralisé, dans un temps record, le mal était partout.

 A son tour elle allait mourir elle le savait, alors la veille elle avait souhaité nous rencontrer, enfin principalement ceux avec qui elle avait partagé des moments particuliers, Bernadette, René, Jacques, Alain, forcement moi et les trois derniers frères, (elle va mourir notre tata) allongé là toute petite cette femme de caractère n'était plus rien qu'un corps, qui attendait son châtiment céleste.

Pour cet instant elle nous avait apparu très digne elle faisait même des projets pour  chacun de nous.

A l'approche de la mort, certaines personnes ne réagissent plus à rien pendant quelques jours.

Cette période d'inactivité quasi totale peu favorisé le repos de l'organisme, de sorte que le où la malade pourrait se réveiller en ayant suffisamment d'énergie pour réagir.

On parle alors d'un petit reste d'énergie, suffisamment important comparativement  à l'état précédent du patient, ce qui pourrait sembler comme une amélioration remarquable.

La personne comme notre tante dans mon recit, avait interagir et dérouter ceux qui la soignaient, voir même nous la famille, c'est ce que nous avions compris, alors que nous venions pour assister ses derniers instants, d'ailleurs cette période ne fut pas très longue, sa mort était survenue dans la nuit, elle avait dû se dire voilà maintenant que je l'ai est rencontrés, je peux partir.



  Beaucoup de monde pour notre tante dans cette église de Drancy 93, après une cérémonie très sobre, direction le cimetière le tonton inconsolable était monté dans le mini bus avec le cercueil, après fin de l'enterrement, avec mon oncle et ma marraine "les Mathieu" nous avions été nous recueillir sur la tombe de la grand-mère un peu plus loin de celle de la sœur, notre tante après les promesses de se revoir nous avons raccompagné, le tonton avec Bernadette qui avait pris l'engagement de s'en occuper.  

Alain et ses derniers mois avant le trépas bientôt ici... 


dimanche 14 octobre 2007

22-La retraite 2005 et la participation à trop d'associations

Que faire pendant la retraite si nous somme encore en forme


Ville Fleurie pour le téléthon


Ville Fleurie mes créations d'art florale


Ville Fleurie mes créations d'art florale


Ville Fleurie mes créations d'art florale


Ville Fleurie mes créations d'art florale


Ville Fleurie


 Drancy Qualité de vie association  du maire


 UFC que choisir


 UFC que choisir

Petit rappel : Patricia est née le 9 Mai 1954, moi le 20 Septembre 1945 ce qui fait: 3153 jours où huit ans 64 jours à un jour près, alors pour elle la retraite ce sera pour le premier janvier 2016, à cause de décisions de nos politiques.

Elle partira donc à 61 ans et sept mois, de toute façon après un cancer des ovaires et une très importante opération le 31 décembre 2008, elle n'a jamais pu retrouver une vie normal, car en plus du cancer, depuis 2005 elle était traitée par une spécialiste endocrinienne pour une maladie invalidante, la maladie de Basedow.

Pour m'occuper pendant les premières années de ma retraite nous, avions achetés notre premier pavillon à Drancy en 2000 alors je m'étais inscrit dans plusieurs associations, de cette ville.

  U F C que choisir, ville fleurie  Drancy, dans également deux associations du maire et pour finir deux associations  pour aider les handicapés, ceci étalé sur neuf ans.

  Conclusion de ces années associatives, j'ai donné beaucoup de ma personne et pécuniairement pas mal aussi, en retour c'était toujours les mêmes qui recevaient les lauriers, alors en quittant cette ville j'ai dit merde à ces profiteurs.

  Aujourd'hui avec le recule je me suis dit que j'étais vraiment trop con, de me faire chier dans ces trucs qui, mon plus coûté et rien rapporté, je considère que les associations sont, une forme d'esclavage moderne appelé  "bénévolat"


Dernière création florale 

mardi 20 juillet 2004

21-Cinq dernières années de travail

Cinq ans à Roissy CDG 1


Deux américaines vraiment trop sympathique 

Nouveau boulot pour finir cette longue carrière de près de 44 ans de travail, en quoi consistait il, nous prenions en charge un passager, à l'arrivée ou au départ de son avion avec une chaise étudiée pour pouvoir circuler dans les couloirs très restreint  des avions,


Dernière entreprise avant mon départ à la retraite en 2005

Beaucoup de belle rencontre, comme des champions de France Handi sport, des princes, des vedettes hommes, femmes, des gens de tout pays, mais mon plus merveilleux souvenir c'est la rencontre avec cette femme, j'avais eu arrivée à l'emplacement de son siège pour la transférer sur ma chaise spécialement étudié pour les avions, un gros pincement au cœur, pas au début, car je n'arrivais pas bien à me rappeler qui était cette personne, la chef de cabine m'avait soufflé à l'oreille attention, monsieur,  c'est ! ! ! 

 (Elisabeth Taylor).

   Non moi le petit Lucien avec cette femme et sa miniature petite chienne une adorable boule toute blanche, cette femme encore bien malgré les années, dès la prise en charge dans l'avion, elle était très entourée, très protégé, après le passage des contrôles (douane et police des frontières) un moment j'avais senti une main dans ma poche, un de ses accompagnant m'avait glissé un billet, également après la récupération de ses bagages, encore un autre billet non, j'étais vraiment très gêné,  nous avions échangé quelques mots, banal en anglais elle me répondait, avec quelques mots en  français j'étais sublimé, enfin arrivée à sa limousine blanche, après l'avoir transféré sur le siège arrière elle m'avait à ma demande fait un autographe et m'avait tendue un autre billet en insistant, j'avais la gorge serrée, mais heureux de cette rencontre mythique.

Elle à disparue le   à Los Angeles, j'avais été très touché par son DC.
   Ha la la ma, pire rencontre si vous saviez, je n'ose pas citer son nom, en près de quatre ans d'assistance, jamais une personne ne m'avait traité aussi mal, pourtant une personne très connue du paf télévisuel qui  jouait souvent un rôle, avec la même équipe.


Prise en charge dans une limousine direction le salon Business classe, (vous savez qui je suis, non lui avait je dit, bien sur, que je l'avais reconnu), pendant le parcours il trouvait que, ma chaise était pas bien pour lui, que je roulais trop vite que, ceci ou que cela "zut" ouf arrivée au salon bon débarras.

Pourtant, il avait bien fallu le reprendre pour l'embarquement avec quelque minute de retard, il avait fait un scandale, les hôtesses non pas réussi à le calmer pourtant j'avais trouvé pour lui une chaise neuve, une fois dans l'avion, j'avais vraiment été heureux de m'en débarrasser, mais à mon retour de prestation des collègues m'avait dit, savais tu qui tu avait sur ta chaise, oui bien sur avait je répondu et bien nous on ne veux plus le faire, il n'ait pas du tout sympathique et même très désagréable, merci avait je dit pour le cadeau, avec le temps et d'avoir appris de quoi il souffrait j'avais pardonné...
  
    J'avais assisté un écrivain célèbre aujourd'hui DCD lui alors pas de bonjour pas de mots sympa rien certain, nous prenaient vraiment pour des larbins.   

 Voyou un mignon petit qui avait été abandonné à Roissy 


Voyou c'est une hôtesse qui lui avait donnée son nom 


C'est lui à cinq ans, aujourd'hui il à 11 ans voyou est DCD 

Il était tapis sous un banc, il avait dû être abandonné par des voyageurs surpris par les formalités nécessaires, pour un animal en voyage  pour l’étranger. 
Je n'en voulais pas vraiment, mais une petite hôtesse de l'air du groupe air France m'avait forcé la main, aujourd'hui il fait parti de la famille depuis presque onze années, depuis mon départ à la retraite, en faite voilà.

vendredi 14 juillet 2000

20-Première, deuxième maisons 2000/2014 le feu..

Il était une fois nos maisons



Nous avions vécu dix ans dans cette maison, elle était sans problème, nous avions eu un gros coup cœur pour elle, je n'avais jamais fait de gros travaux, neuf ans c'était presque une maison neuve, si en 2008 Patricia n'avait pas eu son cancer nous serions certainement encore dedans, de toute façon notre fille et son compagnon avait souhaités que l'ont se rapproche d'eux.

Regardez ces fleurs nous la bichonnions, après sa vente elle avait subit beaucoup de modifications, comme le prolongement, de la salle de séjour dans le garage, fait par des personnes surement pas professionnel, casser un mur suppose avant les travaux la visite d'un expert, l'électricité ne devait plus être aux normes.

En bas sur la photo, je constate une autre modification une sorte d'avancer sur la cuisine en retonde, là aussi quelle modification y avait-il eu, quand nous avons vu notre ex maison dans cet état nous avions pleurés, m'y god que c’était-il donc passé.


Cinq ans après l'avoir vendu voilà ce qu'il en reste 


2010-2014




Beaucoup de travaux, de rénovation et mises au norme.


12 mai 2013-->20% de notre ex maison de Chelles avait brûlé, feu de cheminée l'isolation intérieur de la cheminée n'avait pas été faite dans le respect et les normes anti feu, en effet après le démontage, le chef de chantier avait découvert que la gaine qui entourait le conduit de la cheminée n'était pas ignifugé, avec le temps et une chauffe de trop le conduit avait certainement rougit et mis le feu au toit, ou en chauffant avait, c'est une autre explication provoquée un court circuit.


Par chance cette maison était "et est toujours" un Phénix la particularité une ossature métalique


Le toit avait résisté, merci aux pompiers
Après sa réparation nous l'avons vendu, longue vie à cette maison des années 70


 Depuis Juin 2014 entouré de bois cette résidence


Petite résidence dans une petite ville très sympathique  

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